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Malgré l'absence de plusieurs cadres, Nicolas Sarkozy prône l'unité
Les Républicains se sont réunis samedi à Paris pour valider leurs listes aux régionales de décembre, qui s'annoncent favorables à la droite, avec pour mot d'ordre, malgré les absences de plusieurs cadres, l'unité.
"L'unité est difficile à réaliser, elle demande des efforts sur le long terme", a admis Nicolas Sarkozy, salué par une ovation debout par les quelque 2.000 conseillers nationaux - le "parlement" du parti, et les responsables présents à la Mutualité, notamment Laurent Wauquiez, secrétaire général, Jean-Pierre Raffarin, président du Conseil national, Christian Estrosi, Brice Hortefeux, Luc Chatel, Eric Woerth ou Eric Ciotti. "A 29 jours des régionales, je n'accepterai aucune exception à cette unité. La presse étalerait nos divisions. Réfléchissez, pas avec vos tripes de militants, mais avec votre cœur de Français", a lancé l'ancien président à ses troupes.
Selon lui, "chacun peut avoir des différences. Mais l'unité est une stratégie pensée et réfléchie", a-t-il ajouté, alors que son parti est allié dans toutes les régions avec les centristes de l'UDI, et même avec le MoDem (sauf en Bourgogne-Franche-Comté, où le parti de François Bayrou conduit sa propre liste). Des paroles qui n'ont toutefois pas masqué l'absence des principaux candidats à la primaire, Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire (ce dernier devant se déclarer courant 2016). Les mêmes avaient déjà séché ses discours de La Baule (5 septembre) et du Touquet (12 septembre), faisant fulminer un membre de l'équipe dirigeante pour qui "ça finit par ressembler à un boycott".
Au moment de décoller de Bx,Orly est fermé.Impossible de rejoindre le Conseil national LR à temps. Dommage!J'avais préparé un bon discours.
— Alain Juppé (@alainjuppe) 7 Novembre 2015
Du reste, l'ex-chef de l'Etat a de nouveau déroulé plusieurs de ses fondamentaux : sur l'Europe, qui n'est pas "à réformer mais à refonder", sur la sécurité et le "rétablissement de l'autorité de l'Etat qui sera notre priorité", répétant le mot de "chienlit". Il a également réaffirmé "il n'y aura(it) jamais un seul accord" avec le Front national. "Nous ne partageons rien", a-t-il dit.
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