Julien Clerc
Julien Clerc朱利安克莱尔于1947年10月4号在巴黎出生,他是一名法国歌手。他的父亲是一名教科文组织雇员,他的母亲是来自瓜德罗普岛,他的弟弟热拉尔勒克莱尔是一位法国的政治评论家。
实际上Julien Clerc在法国流行音乐中享受了一个很成功和持续的时期。该如何去诉说一个从1968年五月开始,然后展延了40年的歌唱生涯,一位在法国流行乐坛极具意义的传奇歌手,一个充满活力,未曾失去风采,或是退流行,或是遭遇过人气重挫的歌唱人生?一种难以言喻的力量,一种融合了优雅,热情,诗意,冒险,诱惑的感觉与永恒的才华的神秘力量,就是这样的力量让朱利安克雷Julien Clerc,这位传奇歌手未曾失去他与乐迷之间的奇妙连结,成功的穿梭不同世代的歌唱舞台。在2008年年度专辑《Où S`en Vont Les Avions》中,他的歌唱魔力依然,他并没有重塑自我的风格,持续在歌唱旅程中迈开步伐,他的歌曲依旧保有乐迷所熟悉且喜爱的自在与安慰感觉,不过,他也透过这张专辑邀请乐迷一起去探索他与他的歌唱旅途中的伙伴们在歌曲中所描绘的全新的想像世界。
Les souvenirs
Sont un peu comme ces voyages
Que l'on fait seul et sans partage
Au fil des ans, au cours des âges
Les souvenirs
Qui s'expriment fort et nous hantent
Et nous poursuivent et nous tourmentent
Parlant de nos amours démentes
Les souvenirs
Qui au fond de nos pensées veillent
Et qui par moment se réveillent
Rallumant en nous des merveilles
Les souvenirs
De ce temps riche et de folies
Teinté d'humour que dans la vie
On dévoile avec nostalgie
À l'âge où l'enfance revient
À pas comptés, voûté par l'âge
À l'âge où le mot lendemain
N'a plus cette force sauvage
Qui jadis défiait le destin
À l'heure où tout chante ou déchante
Les souvenirs restent cloués
Et lorsqu'en nos coeurs ils se plantent
Plus rien ne peut les en chasser
Plus rien ne peut les en chasser
Les souvenirs
Sont ces incroyables images
Qui peu à peu ont fait naufrage
Dans les eaux troubles d'un autre âge
Les souvenirs
Ils nous font mal ou nous caressent
Ils nous obsèdent et n'ont de cesse
Que de réveiller la jeunesse
Les souvenirs
Sont les cadeaux d'une mémoire
Qui nous racontent des histoires
Faites de jours roses ou noirs
Les souvenirs
Années de risques et de déboires
Espoirs déçus ou jours de gloire
D'amours ratées ou de victoires
À l'âge où l'enfance revient
À pas comptés, voûté par l'âge
À l'âge où le mot lendemain
N'a plus cette force sauvage
Qui jadis défiait le destin
À l'heure où tout chante ou déchante
Les souvenirs restent cloués
Et lorsqu'en nos coeurs ils se plantent
Plus rien ne peut les en chasser
Plus rien ne peut les en chasser
Je veux m'asseoir devant ma porte
À regarder couler les ans
Et laisser venir en cohorte
Ces choses qui me semblaient mortes
Et qui revivent avec le temps