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Cette nuit en Asie : votre smartphone s'autodétruira dans...
Le gouvernement sud-coréen va imposer l'option « kill switch » sur les smartphones, afin de permettre à distance une autodestruction informatique des appareils.
Samsung a déjà pré-installé le service « kill option » sur son Galaxy S5. - DR
Tous les smartphones sud-coréens pourront désormais s'autodétruire
Confronté à une poussée des vols ou des pertes accidentelles de smartphones dans la péninsule, le gouvernement sud-coréen vient de confirmer qu’il allait imposer à tous ses producteurs d’électronique d’installer systématiquement sur leurs machines une option permettant d’initier un blocage total des appareils et de leurs fonctions. Cette option baptisée “kill switch” permettra d’activer à distance une sorte d’autodestruction informatique qui rendra l’utilisation impossible par d’éventuels voleurs ou garantira la protection des données privées des utilisateurs ayant égaré leur appareil. L’an dernier, 1,23 millions de smartphones avaient été “perdus” en Corée du Sud. Le ministère sud-coréen des sciences et des technologies vient d’indiquer qu’il avait achevé, en partenariat avec les géants de l’électronique, le développement de cette option “kill switch” et qu’elle serait désormais obligatoire sur les nouveaux appareils. Samsung a d’ailleurs déjà pré-installé ce service sur son Galaxy S5 et LG a indiqué qu’il ferait de même sur sa nouvelle gamme de smartphones, qui devrait être lancée en juillet prochain. Plusieurs autres gouvernements cherchent à imposer ce “coupe-circuit” dans leur pays pour faire tomber la délinquance liée au vol d’appareils portables. Aux Etats-Unis, le débat fait rage sur le sujet. Beaucoup d’opérateurs ne sont toutefois pas favorables à cette option qui risque de faire fondre les revenus qu’ils tirent des coûteuses assurances vendues aux abonnés et de limiter le marché du remplacement des smartphones perdus.
Le chinois Minmetals s’empare d’une précieuse mine de cuivre
Un consortium chinois emmené par le géant Minmetals a finalement donné son accord pour racheter au groupe Glencore Xstrata, pour 5,85 milliards de dollars, la mine de cuivre péruvienne de Las Bambas. Cette acquisition est significative pour le groupe chinois, car la mine de Las Bambas devrait produire, lors de sa mise en service en 2015, au moins 400.000 tonnes de cuivre par an, ce qui représente l’équivalent de 12,5% des importations mondiales constatées en 2013. Même si le prix se situe plutôt dans le haut de la fourchette anticipée par les analystes, Minmetals met donc la main sur un actif précieux et d’excellente qualité. Glencore a annoncé que les bénéfices de cette cession allaient être utilisés pour diminuer la dette du groupe, qui doit encore digérer l’acquisition, pour 29 milliards de dollars, de Xstrata. Un rapprochement qui explique en partie le fait que Glencore se sépare de la mine de Las Bambas : les autorités de la concurrence chinoises s’étaient en effet opposées à l’acquisition totale de Xstrata par Glencore, l’obligeant à se séparer d’une partie de ses actifs. C’est donc un joli coup tactique de la part de Pékin, puisque c’est finalement un consortium intégralement chinois qui va ainsi mettre la main sur la mine très prisée de Las Bambas.
Le courtier Citic accélère son internationalisation
Citic securities, le principal courtier chinois, a annoncé qu’il avait pris des parts dans la société New-Yorkaise BTIG, qui offre à des clients institutionnels une palette de services financiers autour des marchés actions. Aucun détail n’a été communiqué au sujet de cette prise de participation : ni son montant, ni la proportion du capital détenu par le groupe chinois ne sont connus. Elle témoigne malgré tout de la stratégie d’internationalisation de Citic, dont le principal temps fort fut le rachat, l’année dernière, du courtier CLSA, émanation du Crédit Agricole et très actif en Asie. Ce rachat aurait coûté environ 1 milliard de dollars à Citic. C’est d’ailleurs, selon BTIG, par l’intermédiaire de CLSA que Citic va prendre des parts dans la société américaine. L’internationalisation de Citic est en ligne avec la stratégie globale de Pékin d’exposer de plus en plus ses grands groupes financiers aux vents du large, mais elle prend un sens particulier à l’heure où les autorités chinoises multiplient les mesures pour ouvrir progressivement les flux de capitaux entrants et sortants. Plus le compte de capital de la Chine se libéralise, plus les services financiers transfrontaliers sont susceptibles de croître, ce qui pourrait être une aubaine pour une société comme Citic, si elle ajoute à son expertise du marché chinois une implantation internationale.
Retour de la grippe aviaire au Japon
Après trois années sans infection, le gouvernement japonais vient d’identifier une nouvelle épidémie de grippe aviaire dans un élevage de poulets du sud de l’archipel et a ordonné l’abattage immédiat d’un total de 112.000 volailles dans cette exploitation et sur un autre site géré par le même éleveur. Samedi, le propriétaire avait rapporté aux autorités sanitaires locales une poussée du nombre de volailles mortes soudainement et des tests ont confirmé, hier, que plusieurs centaines de volailles avaient été infectées par une souche de grippe H5. Pour l’instant, les autres élevages de la ville de Taragi, dans la préfecture de Kumamoto, ne semblent pas avoir été touchés par la maladie. Des inspecteurs ont été dépêchés sur place pour tenter de comprendre l’origine de la nouvelle épidémie. Mais les experts semblent déjà estimer que des oiseaux migrateurs, venus de Corée du Sud où la grippe aviaire sévit depuis le début de l’année, auraient pu contaminer les volailles japonaises. Entre novembre 2010 et mars 2011, les autorités avaient ordonné l’abattage de 1,8 millions de volailles après l’apparition d’une vague de grippe aviaire dans 9 préfectures de l’archipel.
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